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Intérêt du petit déjeuner : une émission sur France Inter à écouter

Posté le 7 Avr, 2013 dans Actualités | 3 commentaires

Intérêt du petit déjeuner : une émission sur France Inter à écouter

Quelle belle surprise ce matin d’entendre une émission sur France Inter, relative à l’intérêt du petit déjeuner, se positionner ainsi contre le lobbying de l’industrie agro-alimentaire et des produits sucrés. On progresse…

Toutefois, attention à trop vulgariser on caricature. Voici notamment quelques nuances :

– La dopamine et la sérotonine ne sont pas des hormones mais des neuromédiateurs. Par ailleurs, les protéines animales contiennent non pas de la dopamine, mais de la Tyrosine, acide aminé précurseur de la dopamine. Or l’organisme ne pourra fabriquer de la dopamine de manière optimale que s’il dispose de l’ensembles des cofacteurs nutritionnels ou enzymatiques, indépendamment du statut en Tyrosine.

– L’intérêt des biscottes et des céréales du petit déjeuner (indépendamment de leur teneur en sucre) est à relativiser fortement. En effet, ils possèdent un index glycémique élevé (voir article dans le blog)

– Le sucre, y compris complet, est également fortement insuline-secreteur. Et dire qu’il est plus riche en nutriments que le sucre raffiné est lui trouver des vertues de manière un peu caricaturale…

Mais dans l’ensemble, une émission à découvrir ! Réécouter l’émission : http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=601910

 

Anthony Berthou

 

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3 Commentaires

  1. Bonsoir,

    en ce moment je me pose une question, j’espère que vous saurez m’éclairer. Voilà, je consomme chaque jour un bon petit déjeuner, un déjeuner complet mais peu calorique (beaucoup de légumes, de céréales, pas de dessert), un petit gouter et le soir, je mange beaucoup. J’ai lu qu’il était très mauvais de trop manger le soir, mais je n’arrive pas à changer, même en mangeant plus à midi. Le soir je mange un gros repas, avec un dessert (yaourt avec figues sechées) et je rajoute du chocolat, sans pouvoir m’en empêcher. Du coup, est-ce vraiment une habitude à changer? Ou bien en diminuant le reste de mes apports de la journée, cela est compatible avec le maintien d’un poids de forme? Ou sinon, comment résister aux pulsions du chocolat, quelque soit la quantité avalée au cours du repas?

    merci d’avance 🙂

    • Bonsoir Elsa,

      Votre situation peut s’expliquer par différentes origines nutritionnelles, il m’est toutefois difficile de vous répondre sans connaitre votre situation personnelle précise. Vous pouvez me contacter en MP si vous le souhaitez (page contact du blog).

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