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Battre son record sur Marathon

Battre son record sur Marathon

Battre son record, telle est la première des pensées du marathonien qui a déjà parcouru la distance et envisage de recommencer. Mais c’est aussi une somme d’interrogations qui  se dressent devant lui et envahissent l’esprit de celui qui se lance ce défi chronométrique Quelle performance espérer ? Un temps récent réalisé dans les mois précédents à l’occasion d’un  semi-marathon  vous permettra d’envisager une performance possible sur le marathon. Multipliez votre temps sur 21.1km par deux. Puis multipliez à nouveau par 1,05 pour définir un objectif haut. 1,10 pour espérer une performance accessible. 1,15 pour fixer votre objectif bas (voir exemple en encadré) Par exemple, pour 1h30 au semi-marathon, le calcul est le suivant : 1h30 soit 90 minutes x2 x1,05 = 189’ soit 3h09 pour un objectif haut 1h30 soit 90 minutes x2 x1,10 = 198’ soit 3h18 pour un objectif accessible 1h30 soit 90 minutes x2 x1,15 = 207’ soit 3h27 pour un objectif bas Quels axes de progrès ? Là encore, difficile de répondre de manière générale. Tout dépend du contenu de votre dernière préparation ? Si vous avez programmé toutes les séances qui doivent composer une préparation marathon complète (Vitesse Maximale Aérobie, Endurance Maximale Aérobie, Vitesse Spécifique) (voir encadré), il va falloir grignoter des secondes sur chacune d’elles. Si il en manque une ou plusieurs, le simple fait de les inclure dans la préparation doit suffire à vous faire progresser ....

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Posté le 20 Avr, 2012 dans Au quotidien, Les conseils sur la nutrition, la micronutrition et le sport | 0 commentaires

Performance et nutrition par Pascal Balducci

Performance et nutrition par Pascal Balducci

Avec l’avènement du trail, la nutrition est devenu un facteur incontournable de la performance. Aux notions de VO2max, d’endurance, de coût énergétique, de technique, de matériel et de mental, il convient d’ajouter les facteurs nutritionnels. La nutrition doit s’envisager dans le temps : l’athlète doit avoir une conduite alimentaire journalière en adéquation avec sa dépense énergétique et les principes élémentaires de santé (but prophyllaxique) ; il doit soigner son alimentation dans les jours précédant l’épreuve afin d’optimiser ses réserves énergétiques et son état d’hydratation ; il doit définir sur le mode essai-erreur un protocole alimentaire idéal suivant le type d’épreuve (durée, température, altitude, hygrométrie, physiologie propre) ; enfin il doit envisager la nutrition comme une méthode de récupération post-effort. Les contraintes imposées aux organes digestifs pendant l’effort en trail sont énormes et deviennent limitantes pour un grand nombre. Pour les prévenir, une alimentation saine et individualisée ainsi que la complémentation sont les meilleures solutions. Pour cela, un bilan nutritionnel et micronutritionnel est indispensable. En tant qu’entraîneur, je dois prendre en compte les facteurs nutritionnels dans ma programmation. Nous déterminons avec l’athlète le poids de forme (celui pour lequel il est le plus performant) et la stratégie pour l’atteindre au moment idéal. En course, chaque athlète doit savoir quoi prendre, en quelle quantité et à quel moment. Beaucoup d’abandons en trail sont dus à des erreurs alimentaires, et chez les meilleurs, la victoire se...

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Posté le 20 Avr, 2012 dans Au quotidien, Les conseils sur la nutrition, la micronutrition et le sport | 0 commentaires

Fiche pratique nutrition sportive : les glucides

Fiche pratique nutrition sportive : les glucides

Privilégier au quotidien : Les aliments glucidiques à index glycémique bas : produits céréaliers non raffinés et non transformés : céréales semi-complètes ou complètes (quinoa, riz semi-complet basmati et produits réalisés à partir de farine complète ou semi-complète de Type supérieur ou égal à 110 tels que le pain ou les pâtes), légumineuses (lentilles, fèves, haricots secs, pois chiches, pois cassés, soja). Les légumineuses et produits céréaliers complets seront toutefois à limiter en cas d’inconfort digestif ou au cours des 24 à 48 h précédant une épreuve sportive. Les fruits plutôt que les jus de fruits. La consommation d’aliments glucidiques au cours de la seconde partie de journée : la collation est le moment idéal pour consommer un fruit associé à une préparation riche en protéines végétales. Privilégier un dîner de type végétarien, en particulier après l’entraînement : légumes, produits céréaliers ou à base de soja (steak, tofu…) et fruit. Le pain au levain à base de farine complète ou semi-complète (Type supérieur ou égal à 110), aux céréales, de seigle, de sarrasin… Vous pouvez utiliser des machines permettant de réaliser rapidement votre propre pain avec des farines de qualité et du levain biologique déshydraté. Le pain reste toutefois un aliment riche en glucides et en sel dont la consommation doit tenir compte du volume d’entraînement et de l’ensemble des apports alimentaires au cours de la journée. Limiter, notamment en dehors des périodes d’effort ou de...

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Posté le 16 Avr, 2012 dans Au quotidien, Conseils en santé et nutrition au quotidien, Les conseils sur la nutrition, la micronutrition et le sport | 6 commentaires